ALICE IN DEADLY SCHOOL
STATUS
COMPLETE
EPISODES
1
RELEASE
March 3, 2021
LENGTH
42 min
DESCRIPTION
Yuu and Nobu are practicing manzai (a two-person comedy act) act on the roof of the school. At the same time, the school building is overflowing with the presence of non-human "something else." It is said that if a person dies after being bitten by one of them, it will turn into the same "something else" and attack people. In the chaos of the school, Will Yuu, Nobu, and the other surviving students be able to escape from its evil hands?
(Source: Crunchyroll)
Note: A short special edit of the OVA, titled Alice in Deadly School Tokubetsu-ban: Ima, Stage no Maku ga Agaru (Alice in Deadly School Special Edit -The Stage Begins-), was broadcasted on Jan 4, 2021 as part of the New Year's special.
CAST
Nobuko Momomura
Chihira Mochida
Yuu Sumio
Mao Ichimichi
Yumiya Akashima
Nozomi Yamamoto
Asayo Akamori
Amina Satou
Yukifumi Shigemoto
Rei Suzuno
Kazuma Aoike
Asami Takano
Shizuka Murazaki
Hikaru Akao
Megumi Ouichi
Saki Ogasawara
Kiriko Tounuma
Ayaka Suwa
Iori Hikyou
Aya Akiyoshi
Kaoru Igari
Sarara Yashima
Imei Kaihara
Kaori Mizuhashi
EPISODES
Dubbed
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REVIEWS
May
90/100“Either way, we die,”; 2021’s anime of the year is an already forgotten anti-establishment coming-of-age tragedy.Continue on AniList*This review contains spoilers for the reviewed material. You have been warned.*
Alice in Deadly School is a 35-minute OVA about naïve teenagers stuck on their high school's roof after zombies took over the first floor. Alice causes a Fukusaku 'Battle Royale' '-like inversion of tropes by capturing the essence of anime stereotypes and imposing individual trauma onto them. Here the student council president is not the one with the glasses; the delinquent doesn't smoke, and the funny girl feels lonely because she's weird.
While Alice in Deadly School's main conflict is its zombie apocalypse, its underlying theme is about a younger Japanese generation disillusioned with their failing authority. At some point the army crashes a helicopter because zombies overwhelm them, after which a girl stoically remarks "no one is coming for us.". These teenagers are left stranded by their role models' imperfections, and with nobody to look up to they struggle to embrace maturity themselves. Their abandonment issues cause such a distrust that even the student council president and softball captain crumble under the pressure of assumed authority themselves.
The zombies aren't horrifying until we realize each of them was a bundle of aspirations whose lives were forcibly cut short as nobody supported them through their ultimately futile struggle. Director Shigeyasu Yamauchi (Casshern Sins) isolates his living characters in open spaces because these girls feel too small and alone, trapped in the massive world they inhabit. The girls' only place of comfort, the high school, has an oily filter as if their happy memories are physically melting away.
Yet, rather than nihilistically succumbing to their predicament the girls decide to take matters in their own hands. In an anti-establishment bent they decide to confide in each other's individual strengths instead of waiting on an army that won't arrive anyway. Despite most girls meeting an unfortunate demise Alice in Deadly School finds catharsis by arguing we only have each other to rely on: the science club's last effort is devising a bomb for an escape route; the softball pitcher receives one final throw to save her schoolmates, the piano girl and aspiring pop idol fulfill their dreams as they're heard in their ultimate performances, and one part of a manzai duo lets her partner know she's always there in her heart no matter how lonely the world is.
Yamauchi bolsters Alice in Deadly School's permeating sapphic anxiety, coming-of-age tragedy, and anti-establishment rebellion with dramatic lighting and color palettes changing along the scene's tone. It revels in moments of soft surrealism where a girl's perception alters the environment, either offering her escapism or amplifying claustrophobia. The director uses exaggerative perspectives and (off-)centers his characters into big suffocating spaces of loneliness which are juxtaposed by close-ups. Kiyoshi Tateishi's character designs intensify the tragedy, as the cast's faces are the only soft thing left in this apocalypse. Yamauchi's aesthetic flourishes cover up the OVA's somewhat cheap look, but if anything the thriftiness evokes the sensation of late-90s Japanese underground which sought to maximize the power of every frame by coalescing character and location into a feeling, without telling you what you're supposed to feel outright.
It's confusing that Alice in Deadly School is... this. It was dead on arrival as a tangential prequel to Gekidol, a poorly received idol show with none of its cast or staff appearing here. Yet Yamauchi manages to squeeze out the year's cinematic highlight in 35 minutes of anxiety. Alice in Deadly School is panned and might not be your cup of tea, but its sympathetic core of anti-establishment teenagers resonates so deep with me I can't help but consider it my anime of the year.
GNOATXEL
80/100Une courte et jolie histoire rappelant les pièces d'enfants qui saura raviver une légère nostalgie chez certains.Continue on AniListEn français, sans spoil.
Bonsoir, bonjour la commu, me revoilà pour parler cette fois-ci d'un truc bien plus questionnable, je savais pas trop de quoi parler, parler d’un énième animé de musique aurait fait redondant et la majorité de mes œuvres préférées étant constituées d’œuvres dont je n’avais pas spécialement envie de parler ou bien dont mes souvenirs sont maintenant trop limités pour en parler assez bien, j’ai choisi de prendre un OVA à la con, récurant le fond du top score anilist, avec son misérable 52%.
Alors je suppose que la question que tout le monde se pose actuellement c’est “mais pourquoi aborder et sûrement trash un truc aussi random et évidemment médiocre, on s’en fout non ??” Eh bien détrompez-vous, je vais le propagander.
Avant toute chose, ce truc est relié d’une façon ou d’une autre à Gekidol, et avoir vu Gekidol rend le truc un peu plus sympa à condition de n’avoir pas détesté Gekidol, mais il n’est en aucun cas nécessaire de le voir.
Donc on a affaire à une histoire d’invasion de zombies dans une école, jusque là rien de bien alléchant, et on va suivre un groupe de camarades de classe au milieu de tout ça, rien de bien alléchant non plus, mais vous inquiétez-pas ça se limite pas à ça.
-> Story :
À savoir que l’animé ne dure que 50 minutes, je trouve que l’histoire est pas si mauvaise que ça, bien qu’elle présente quelques points louches. C’est lent et pas très bien géré, mais c’est dans ça que réside le charme de l’animé à mon avis. En fait pour ceux qui ont vu Gekidol, animé pas mal autour du théâtre, bien que très questionnable, il ne vous aura pas échappé que Alice in Deadly School est en fait une pièce de théâtre faite par des amateurs. Et je trouve justement que c’est ce côté amateur qui est très bien retranscrit dans l’animé qui donne un certain charme, qui en dérangera beaucoup mais qui a plutôt bien marché sur moi, le tout avec une ambiance un peu mélancolique nous faisant ressentir une certaine solitude que ressent le cast, et des flash-backs simples mais pas mauvais, ça en fait un animé particulier et surprenant, tant qu’on s’y intéresse. La durée relativement courte de l’animé l’aide également, c’est pas assez long pour que ça devienne trop ennuyant, puis j’ai également beaucoup aimé la fin, je pense qu’elle est assez belle.
8/10
-> Personnages :
Eh non même là c’est pas un naufrage complet, c’est sûr qu’en 50 minutes (enfin moins vu la longueur de l’ending) tu développeras pas grand chose, mais les flash-backs éparpillés dans l’animé suffisent à donner un minimum de profondeur aux personnages, même si ces flash-backs ne sont pas révolutionnaires en soit. La plupart des persos bien qu’assez oubliables sont particuliers les quelques relations entre eux sont pas désagréables, surtout le duo de MC qui est assez sympa à suivre. Même si aucun personnage ne méritera de place dans quelconques favoris, le taff a été bien fait pour un truc aussi court, tout en gardant ce côté amateur dans les flashbacks, ils font vraiment réalisation de collégien c’est marrant.
7/10
-> Visuels :
L’animé est vraiment joli du début à la fin, avec une direction artistique originale et prenante, c’est plaisant. C’est pas énormément animé, mais pour ce que c’est pas vraiment nécessaire, l’animé comme il est rend très bien.
8/10
-> OST :
Des petites OST au piano sympathiques, des moments de silence appréciables, les OST durant l’animé font le taf, elles ne sont pas spécialement notables mais sont suffisantes pour agrémenter l’ambiance du tout. M’enfin le truc absolument insane c’est l’ending, il est parfait, giga banger, observez la masterclass, à écouter en entier (ça devient royal à la 2ème moitié) : https://www.youtube.com/watch?v=mCdj4cpaTTQ
8/10
-> Enjoyment :
Tout ça nous fait donc malgré ses défauts et son style étrange quelque chose d’étonnamment appréciable. Alors peut-être qu’il n’y a que moi pour apprécier le côté amateur de l'œuvre, et qu’en fait c’est juste mauvais mais je l'ai regardé avec une petite nostalgie ça m'a mis très bien.
9/10
-> Overall :
Alice in Deadly School est un OVA qui par sa durée ne fera chier personne trop longtemps, donc allez le voir si ça vous tente, ça fera une petite perle à votre collection. M’enfin vous pouvez très bien le détester, mais je pense que ce truc a du charme et vaut le détour malgré son faible score, surtout vu le manque complet de bons animés sur ce début de décennie. Hésitez pas pour les rares qui auront envie de jeter un œil de me dire si je suis le seul cinglé à l’aimer ou non.
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- ANIME HorrorGakkou Gurashi!
SCORE
- (2.5/5)
TRAILER
MORE INFO
Ended inMarch 3, 2021
Main Studio Hoods Entertainment
Favorited by 25 Users
Hashtag #ゲキドル #GEKIDOL